Chapter 27
Chapter 27
Chapitre 27 Lorraine a gagné cinquante mille euros, son visage s’épanouissait de joie, elle n’en croyait pas ses yeux Au bout d’un moment, elle a demandé à Remy, un sourire radieux aux lèvres – Ces cinquante mille euros sont vraiment pour moi ? – Bien sûr, tout est à vous! a dit Remy précipitamment en hochant la tête. – Chouette, c’est vraiment génial ! s’est-elle exclamée. Voyant que Lorraine a récupéré son principal, et qu’elle a même obtenu cinquante mille euros de plus ! Les autres personnes âgées, redonnant l’espoir, pensaient que leur argent serait remboursé avec des intérêts. – M. Remy, et notre argent? a demandé quelqu’un. Remy a balayé de son regard à Clovis. Bien que Clovis ne veuille pas rendre cette somme d’argent, cette fois il a offensé le maître des Huet! Il n’avait pas de choix, de peur de perdre sa vie, et il a ordonné : – Tu les rends tous ! Grâce à M. Clément ! La foule a acclamé cette nouvelle. À ce moment-là, Clément a soudain dit d’un ton glacial: – M. Clovis, je ne les connais pas, alors que vous avez dit de l’avoir fait pour moi, ce n’est pas du tout raisonnable ! – M. Clément, que voulez-vous dire par là ? Je suis confus, je n’arrive pas à comprendre … a demandé Clovis, terrifié et confus. – L’argent de ces gens n’a rien à voir avec moi, vous pouvez le rendre si vous voulez! Mais si vous faites ça pour moi, alors ne me blâmez pas de changer d’avis maintenant ! a répondu Clément. Vu que ces personnes âgées venaient de se moquer avec Lorraine, Clément ne voulait pas les aider. Au contraire, au lieu de les aider, il faudrait rappeler Clovis de prendre la tête, pour qu’il comprenne qu’ils l’offenseraient ! Clovis a immédiatement compris et a dit :
– J’ai pige, M. Clément, ne vous n’inquiétez pas ! Après avoir dit cela, il a dit à Remy: – Ne remboursez que l’argent de la belle-mère de M. Clément, pas de remboursement pour les autres ! – Quoi ?! Les personnes âgées n’en croyaient pas ses oreillers, tous déçus, certains ont même éclaté en sanglot. D’autres ont supplié Clément de les aider, mais il les a ignorés. Qu’est-ce qu’ils étaient irrespectueux ! À
la pensée des insultes qu’ils lui avaient adressé, il s’est fâché. Sachant qu’il pouvait obtenir le respect de Clovis, voulaient-ils maintenant qu’il leur rende un service ? Hors de question ! – Fermez vos gueules ! Si quelqu’un dit encore un mot et que ça dérange M. Clément, je vais le tuer ! a hurlé Clovis à cette bande de personnes âgées. Ils se sont tus tout de suite, n’ont plus osé dire quoi que ce soit. Clovis a demandé en lançant un regard à Léo : – M. Clément, ce M. Léo, c’est votre ami ? Clément lui a jeté un coup d’oeil, Léo s’est empressé de supplier : – Clément, Clément ! Sauve-moi! Dis à M. Clovis que nous sommes de bons amis ! S’il te plaît! – Je ne connais pas cet homme, allez-y, faites ce que vous avez dit et giflez-le, a dit Clément avec dédain à Clovis. Ce dernier a tout de suite compris et a ordonné à ses hommes : – Bon sang, continuez à lui donner des claques, ce salaud ! Ça m’embête de le regarder ! – Clément ! C’est de ma faute, je suis désolé, je ne savais pas que tu es un grand personnage ! Je te supplie de m’aider, je t’en supplie. a hurlé Léo avec horreur. Clément l’a regarde et a dit avec Indifférence : – On n’a pas de rancune ni halne, je ne te connais pas du tout, pourtant, tu m’avais parlé de façon moqueur et ironique à plusieurs reprises, tu veux que je te sauve 2 Réveille-101, dans ton rêver ! – Clément, je sais que j’ai tort, s’il te plal sauve-mot… a supplie Léo en larmes. Voyant la mine de Clément s’est assombrie, Clovis a immédiatement hurlé à ses hommes : – Merde ! Salaud ! Pourquoi ne bougez vous pas ?! Vous ne vouliez plus vivre ?! Plusbeurs de ses hommes, l’air choqués, se som empregada de l’attraper par le cou et par les chevaux et de lui donner des claques. Bientôt, Léo avait la bouche pleine de sang avec quelques dents cassées, mais ils ne cessaient de le giflaient! Clovis a demandé à Clément avec un sourire : – M. Clément, êtes-vous satisfait de cela ? – Bien, il faut que j’y aille maintenant, a dit Clément en hochant la tête. Clovis s’est empressé de lui tendre sa carte de visite de manière respectueuse, et il a annoncé :
– M. Clément, voici mes coordonnées, à l’avenir, si vous avez besoin de quoi que ce soit, donnez-moi un ordre, je serai à votre service. Clément la prise et la mise dans sa poche. Puis il a dit à sa belle-mère : – Lorraine, il se fait tard, rentrons! Bien que Lorraine reçoive quelques claques, elle était rayonnante de joie d’avoir gagné cinquante mille, elle a regardé Clément avec fierté, pensant qu’il lui avait vraiment fait gloire devant ses amis ! Au moment où Clément se préparait à partir avec Lorraine, les personnes âgées se sont empressées de l’assiéger et l’ont flatté : – Clément, je me suis trompée tout à l’heure, je ne m’attendais pas à ce que tu sois si puissant, tu es vraiment talentueux! – Oui, c’est sûr, Clément, vous êtes un bel homme compétent, vous êtes fort, mon gendre n’est même pas digne de vous. – Pourriez-vous nous aider à parler à M. Clovis pour qu’il nous rende notre argent ? – Pourquoi je dois vous aider ? Ne m’avez-vous pas méprisé ? Si vous ne pouvez pas récupérer vos argents, demandez à vos gendres de vous aider ! a rétorqué Clément, les sourcils froncés. Sur ce, il est parti sans hésitation. La foule regrettait les insultes pour Clément. Et maintenant … Tout était fini, c’était impossible pour eux d’accepter cette réalité. A cette pensée, certains étaient furieux de se faire gifler, d’autres éclataient en sanglot. Cependant, ils n’avaient pas de moyen, ils ne pouvaient rien faire que de se blâmer, et de regretter ne pas avoir un bon gendre compétent comme Clément. Sur le chemin du retour, Lorraine, l’air radieuse, lui a demandé : – Clément, comment connais-tu Clovis ? Pourquoi est-il si respectueux devant toi? – Je ne le connais pas, je n’ai téléphoné qu’à mon camarade compétent, a-t-il répondu. À ces paroles, Lorraine était toute déçue. Elle avait pensé que Clément le connaissait, mais elle ne s’attendait pas à ce qu’il supplie encore un autre camarade de l’aider. Ainsi, l’ardeur dans son coeur a été instantanément réduite à néant. Mais heureusement, elle a récupéré son argent, et a même gagné cinquante mille euros supplémentaires, ce qui lui permettait de changer altitude pour Clément.
– Clément, il faut garder ce secret, ne le dis à personne, l’a rappelé Lorraine. Clément a souri d’un air impuissant et a dû accepter en disant: – Pas de soucis, Lorraine,Content (C) Nôv/elDra/ma.Org.